Paroles La ville que j'ai tant aimée de Tri Yann
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Textes et Paroles de La ville que j'ai tant aimée
Elle est née d'une ferme tout en haut d'un rocher
Cette ville que j'ai tant, tant et tant aimée
Du lavoir à l'hiver, de l'église à l'été,
Les siècles s'enchaînaient aux années...
Ils avaient les moissons pour vacances l'été
Et les femmes saignaient sur le lin des rouets
Et la pluie tombait blanche sur les toits ardoisés
Dans la ville que j'ai tant aimée
On y venait de Nantes les dimanches d'été
Avant qu'elle ne soit grande quand notre siècle est né
Chemises et robes blanches les jardins ouvriers
Fleurissaient sous des ciels de pommiers
C'est la fin de l'enfance et nous avons dansé
Dans l'école un dimanche, il y a six années
Le soleil a brillé sur les toits ardoisés
De la ville que j'ai tant aimée
Et les filles riaient et les hommes buvaient
La ville était adulte et les arbres chantaient
Et puis une aube grise un matin s'est levée
L'herbe rouille et l'aubier est gelé
Ils ont tout brisé, balayé et brûlé
Ils ont tout interdit tout arraché
Et la pluie tombe noire sur les toits ardoisés
De la ville que j'ai tant aimée
J'y ai vu un gamin en costume arlequin
Peindre un arbre bleuté dans un étang gelé
Nous avons su apprendre aux enfants à rêver
Dans la ville qu'ils ont tant aimée
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