Paroles L'homme Libre de Salif

Textes et Paroles de L'homme Libre

entre les mythos et les mythes
la barrière est infime
leurs apparitions sont des pubs
ma carrière est un film
mes potos ne veulent pas d'une tire
s'en va et vers golomik
mon flow me doit la première classe
donne leur la classe économique
pendant trop de temps
j'enfermais mon talent
au centre de rétention
menotté mes ambitions
une sorte de prévention
et d'être raciste je suis forcé de voir
comme dit samy que l'histoire
est comme un piano
dessus une blanche vaut deux noires
à la manière d'un renoi je mécrisais mes doutes
j'aime maîtriser ma vie j'aime en dessiner les courbes
mon existence mon chant de bataille mon cri de guerre
décimer les tous lutter jusqu'au dernier souffle
si c'est ma destinée j'l'épouse
en attendant que la réussite me passe la bague à l'annulaire
face à eux je m'sens puissant comme internet face aux pages de l'annuaire
mon cerveau est fou va savoir ce qu'il renferme petit j'ai encaissé des coups
j'aurais aimé avoir un grand frère
rendez moi mon innocence
c'est pas de ma faute c'est de la votre
a dix ans je savais déjà que mon oncle
vendait de la daube
a 13 ans malheureusement j'sais plus comment je devais rodé
j'assistais impuissant à ma premiè première O D
et l'artiste qui est en moi me dit
qu'il a le blues comme chelsea
qu'il en a marre de parler de poudre drogues saisi
si il était ouf ah crazy
il dirait que les rappers alive il les baise tous sauf jay z
le ghetto m'push up hey reee
il sait que j'sais ou j'vais
oui que j'vais un coup sans boussole
j'maiguille autour de moi y'a pas de crous de soldats
chez moi j'ai tout de sorte d'arme
parce que j'ai tout de sorte d'ennemis
pa pa pa ils risquent bien plus de tout shoote
ils risquent même d'y rester si je les touche
honnête mon parcours ma douleur le méritent
j'ai l'impression de tourner en rond un peu
comme un coureur de kerill
j'ai vu des chose qui t'auraient horrifié j't'assure
finalement je me retrouve la a rapper à glorifier la rue
il doit y avoir quelque chose qui cloche comme
les carillons de l'église
il serait temps que je décroche car les grapillons me les brise
et je suis tombé sur des putes puis j'suis tombé sur des meufs bien
retombé sur des putes car les papillons se déguisent
compris que les histoires d'amours se terminent mal mal mal
qu'on se dit qu'on reste amis mais qu'au fond on se méprise
ca marche des repasses revienne comme une racaille
je traine tu m'donnes un peu d'amour j'renvoi une rafale de haine
vu mon entourage me demandait me vantait de tricher
j'suis pas rappeur j'suis photographe car au fond je fais que prendre
et reprendre des clichés
la pélicule est pleine sur la route de la vérité
une action qui vise la tenté d'arrêter
mon véhicule et veine
les détracteurs peuvent même pas rater c'que j'fais
c'est peut être un suicide commercial
l'instru est taché de sang mes veines sont tailladés
mon esprit mes forces le rap en ce moment c'est mourir
sans même essayer de vivre un mininum
les gamins se défilent et les hommes se livrent
tu peux pas être esclave d'une usine moi
j'suis un homme libre

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