Paroles Le propriétaire de Paul Louka
Les chansons similaires
La Bienvenue de Najoua Belyzel
(Christophe Casanave/Najoua Mazouri) Elle avance en silence, les yeux baissés, elle n'ose pas S'affranchir de l'absence d'une mère qui ne l'aimait pas Elle n'était pas la bienvenue, non pas la bienvenue Elle...
Dieu Qu'elle était Belle de Patrick Fiori
Dieu qu'elle était belle, si blanche, si claire Ce dimanche de janvier Dieu qu'elle était celle que j'attendais, Telle que je l'avais toujours rêvée Je ne me souviens guère des gens Ni de l'hiver,...
Mon Dieu de Paul Brunelle
J'ai marié cette jolie fille Il y a seulement deux ans passés Je croyais qu'on était fait l'un pour l'autre Mais je m'étais royalement trompé Mon Dieu qu'ai-je fais de si mal Mon Dieu, où ai-je...
Ce n'est pas à Dieu que j'en veux de Daniel Guichard
Dans mon costume de pauvreté, le jour de ma communion On m'avait mis pour me cacher, au bout de la procession Quand le curé nous a parlé de l'amour du prochain Seul dans mon coin j'avais envie de pleurer. Ce...
Pourquoi Mon Dieu Pourquoi de Paul Brunelle
J'étais très jeune encore quand j'ai perdu papa Nous vivions sur une ferme tout au fond des grand bois Ma mère était malade mon père n'y étant pas Donc j'en ai pris la garde car j'étais son petit...
Textes et Paroles de Le propriétaire
Il y a bien longtemps
J'étais propriétaire
D'une île, dans l'océan,
Une petite pointe de terre.
J'étais seul maître à bord
Juste après Dieu le Père
Et tout semblait d'accord
Et tout était prospère.
Pas d'argent, pas d'impôt,
Pas le moindre notaire,
Pas d'épée, pas de poudre,
Donc pas de militaire.
J'étais le plus heureux,
Juste après Dieu le Père,
Quand nous n'étions que deux,
Quand nous faisions la paire.
Pas de flic, pas de coup,
Pas de pied au derrière,
Pas de crime, pas de juge,
Pas d'erreur judiciaire.
J'étais maître partout
Juste après Dieu le Père,
La tête sur mon cou
Plantée comme un repère.
Ah, pas de crise de foie,
Pas de grippe, pas d'angine,
Pas d'ennui regrettable
Mais à chacun son tabac.
Je faisais ma cuisine
Et quand je passais à table,
J'étais le premier servi,
Enfin, juste après Dieu le Père.
Bref, c'était le paradis
Et nous vivions pépères.
Mais, un jour que je dormais
Dessus mon lit de pommes,
Dieu eut la triste idée
De m'ouvrir le sternum.
Oh, je sais,
Le travail fut bien fait
Et Dieu créa la femme.
Il me manque une côte
Et ma vie est infâme.
Avant, j'avais, comptant,
le meilleur sans le pire.
Aujourd'hui, à présent,
Je souffre et je soupire.
Et elle, sept jours par semaine,
Elle me parle, elle me parle,
Elle me parle, elle me parle,
Elle me parle, elle me parle,
Et respire.
Et Dieu le Père lui-même
N'a plus grand chose à dire.
-
- Nouvelles paroles :
- Le lit sauvage - Quand vint la grâce - Vive les tamalous - Après les Drapeaux - L'age des possibles - DON'T STOP JAMMIN'
-
- Nouveaux artistes :
- Sébastien PERRIN - Dominique Fidanza - BIGA*RANX - Albert Babin - Guylaine et Celine Royer - Caroline Levasseur
-
- Meilleur classement :
- Comme un boomerang - La nuit je mens - Fais dodo, Colas mon p'tit frère - Céline - La montagne - You Know Who You Are
-
- Retrouvez-nous sur Facebook :
- Autres paroles de Paul Louka :
- Ce n'est pas la faute aux poètes
- Mourir l'été
- Je dis qu'il faut laisser
- Du côté de...
- Victor
- On court et on cavale
- Vas-y Paulo !
- J'ai perdu, je suis
- Mon aventure
- Ville, foutue ville
- Rendez-vous
- Caméléon
- Tante Sarah
- Saragosse
- Je suis un enfant
- Voir tous les textes et paroles de Paul Louka.