Paroles Là Où Poussent Mes Racines de La Rumeur

La Rumeur
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  • Artiste: La Rumeur54874
  • Chanson: Là Où Poussent Mes Racines
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Flippe pas, ou bouge comme quand Je dégage, quand tu joues de mon temps Je prends ton coeur ou rien d'autre Viens style Hot Hot Hot ! Me lancer des kiss devant lui, eh demande-lui ! Qu'est-ce qu'il peut...

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Flippe pas, ou bouge comme quand Je dégage, quand tu joues de mon temps Je prends ton coeur ou rien d'autre Viens style hot hot hot ! Me lancer des kiss devant lui, eh demande-lui ! Qu'est-ce qu'il peut...

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Textes et Paroles de Là Où Poussent Mes Racines



Là où poussent mes racines, fière de mes origines...
écoutes ça, hein !
Loin des yeux loin du coeur ces larmes ont un arrière goût d'liqueur,
laisse tomber ces sourires ils sonnent faux comment dire...
J'aurai beau réagir comme un adulte, devant tout sauf une insulte, ça fera pas de moi un inculte.
Le pire est qu'on est fini par le croire d'après Hamé, dernier rempart pour crever au placard.
Avec nos têtes déjà cramées à la lueur d'un sbar, on a poussé comme des tours.
J'avais cette réflexion avec le frère de malik dont le fils vient de voir le jour.
On aime la légèreté, aussi des choses simples comme parler des heures
aux petits. J'ai pris encore de prés des années sur le visage, laisse
moi écrire en paix quelques pages sur l'esclavage qui n'a de cesse que
les pieds et points liés en bas de ta téce
A bouffer du stress, loin des centres villes le ventre vide ou imbibé
de liquide, les nouvelles du pays sentent le treillis.
Les fruits de l'indépendances n'étaient pas pourris à la base, la
diaspora a trahi et bradé les prix du fer du zinc et du phosphate à des
suppôts de Mitterand contre sa vieille prostate.
J'ai pas attendu que le temps se gâte, qu'il se mette à pleuvoir des
cordes dans le creux de ma tête pour raisonner comme si, j'avais du
sang sur les mains le destin en dents de scie comme obligé de dessouder quelqu'un.
Somme nous français de faffe je ne fais même plus gaffe, citoyen du
monde pff j'y crois pas une seconde.
(Le poing serré en signe…
D'un coeur qui saigne de l'absélie je sais où palper mes véritables
origines, là où poussent mes racines.) bis
Des frère a peine sortie la rétine choqué, quelques chicos en moins
continuent d'croquer, hallucinent encore de billet de 20 € cramés en une
journée d'routine sur ces minaudes qui vendent des tappes dans la
cocaïne sur les tenues des gamines. Autre époque déjà has been autres moeurs à
leur age les anciens m'apprenaient à danser le smurf le bitume dés la
matin même l'écume de la brume n'humanise pas, toutes ces vielles téci
qui ne ressemblent plus à rien la frustration en leur sein, laquelle
déteint sur nous même à des kilomètres comme l'odeur des sous, je garde
ces souvenirs en tête. Et les potes d'hier de parents à la retraite dans
le meilleur des cas ou dans la pire des descente. Après une brillante
carrière sous les plafonds bourrés d'amiante, il n'y a rien que
j'invente c'est tellement véridique que ça en devient viscéralement tendu pour
cette grosse pute de république. Je n'aime pas l'eau tiède l'exotisme
sur le blède de toi à moi, ce culte de l'Afrique noire où les blancs
vivent comme des pachas sans se manger de crachats…
Tu comprend mieux pourquoi là où on place l'injustice je n'ai pas pour
priorité d'allé saccager des champs de maïs. Ma vie s'instruit de ses
propos à la lecture claire comme au travers des hublots des compagnies
de charter. D'ordinaire je dois m'entretenir de quoi avec des faces de
bites pour des fondements à la va vite c'est ça ou ta femme te quitte.
Je ne dis pas que c'est mieux ailleurs je dis rien je te laisse les discours genre on est tous terriens.
Le poing serré en signe…
D'un coeur qui saigne de l'absélie je sais où palper mes véritables origines, là où poussent mes racines.
E-K-O-U-E, original togolais, chasseur de prime comme les éperviers.

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