Paroles Le revenant de Georges Brassens
Les chansons similaires
Plus rien, je n'ai plus rien qu'un chien de Jean Sablon
Sur le boul'vard de La Villette Deux femmes travaillaient pour moi Mais elles sont malades pour trois mois. Une vieille dame à galette Avait pour moi le grand béguin Hmm, elle est morte ce matin. Et...
Cahin-caha de Mes souliers sont rouges
C'était un homme, un beau un vrai De ceux dont on fait le grand mât Des bateaux qui s'en vont là-bas C'était un de ces gars-là qui Une fois le boulot fini, S'en allait boire un coup là-bas Refrain...
Vieille Canaille de Serge Gainsbourg
J's'rai content quand tu s'ras mort Vieille Canaille J's'rai content quand tu s'ras mort Vieille Canaille Tu ne perds rien pour attendre Je sau - rai bien te descendre J's'rai content d'avoir ta peau Vieux...
Chante Avec Moi, ça Va de Anne Vanderlove
Quand il n'y a vraiment plus rien Au fond des rues quand tout s'éteint Clignant de l'oeil comme des phares À Recouvrance il y a des bars Quand on a l' coeur en plein hiver Plein de vagues et plein...
J'suis papa et j'suis dans l'coup de Bourvil
Quand on est papa, Il faut souvent Pour plaire aux enfants, Etre dans le vent. Moi j'ai compris ça, C'est pas idiot, En écoutant la radio, i,o,i,o Je me suis remis Le col marin Qui m'allait si bien Au...
Textes et Paroles de Le revenant
Calme, confortable, officiel,
En un mot résidentiel,
Tel était le cimetière où
Cet imbécile avait son trou.
Comme il ne reconnaissait pas
Le bien-fondé de son trépas,
L'a voulu faire - aberration ! -
Sa petite résurrection.
Les vieux morts, les vieux "ici-gît",
Les braves sépulcres blanchis,
Insistèrent pour qu'il revînt
Sur sa décision mais en vain.
L'ayant astiquée, il remit
Sur pied sa vieille anatomie,
Et tout pimpant, tout satisfait,
Prit la clef du champ de navets.
Chez lui s'en étant revenu,
Son chien ne l'a pas reconnu
Et lui croque en deux coups de dents
Un des os les plus importants.
En guise de consolation,
Pensa faire une libation,
Boire un coup de vin généreux,
Mais tous ses tonneaux sonnaient creux.
Quand dans l'alcôve il est entré
Embrasser sa veuve éplorée,
Il jugea d'un simple coup d'oeil
Qu'elle ne portait plus son deuil.
Il la trouve se réchauffant
Avec un salaud de vivant,
Alors chancelant dans sa foi
Mourut une seconde fois.
La commère au potron-minet
Ramassa les os qui traînaient
Et pour une bouchée de pain
Les vendit à des carabins.
Et, depuis lors, ce macchabée,
Dans l'amphithéâtre tombé,
Malheureux, poussiéreux, transi,
Chante : "Ah ! ce qu'on s'emmerde ici" !
-
- Nouvelles paroles :
- Le lit sauvage - Quand vint la grâce - Vive les tamalous - Après les Drapeaux - L'age des possibles - DON'T STOP JAMMIN'
-
- Nouveaux artistes :
- Sébastien PERRIN - Dominique Fidanza - BIGA*RANX - Albert Babin - Guylaine et Celine Royer - Caroline Levasseur
-
- Meilleur classement :
- Comme un boomerang - La nuit je mens - Fais dodo, Colas mon p'tit frère - Céline - La montagne - You Know Who You Are
-
- Retrouvez-nous sur Facebook :
- Autres paroles de Georges Brassens :
- La route aux quatre chansons
- Auprès de mon arbre
- Le pince-fesses
- Trompe la mort
- La ronde des jurons
- Le temps passé
- Les passantes
- Clairette Et La Fourmi
- Le myosotis
- Le vieux Léon
- Le cocu
- Le bistrot
- Le Bateau De Pêche
- Le nombril des femmes d'agents
- Il suffit de passer le pont
- Voir tous les textes et paroles de Georges Brassens.