Paroles J't'ai serrée si fort de François Hadji-Lazaro
Les chansons similaires
Petit Frank de François Feldman
T'écris ton nom sur les murs Tu voudrais bien jouer les durs Mais y a quelqu'un qui te manque Dans ta vie petit Frank Tes sentiments les plus forts Sont enfouis comme des trésors Dans les rêves où tu t'endors Les...
Fou d'elle (à Victoria) de Frédéric François
Elle, Quand elle s'éveille en souriant, Dans son petit lit de bois blanc, J'en suis fou, Fou d'elle, Quand elle habille toutes ses poupées De gestes tendres et de baisers, J'en suis fou, Elle,...
Valentine de Maurice Chevalier
On se rappelle toujours sa première maîtresse J'ai gardé d'la mienne un souvenir pleine d'ivresse Un jour qu'il avait plu Tous deux on s'était plu Ensuite on se plut de plus en plus J'lui d'mandait...
La mouche de France d'Amour
J'étais sous la douche quand je l'ai entendue Elle a fait mouche et je l'ai aperçue J' f'rais pas d' mal à une mouche, elle l'a bien deviné Sans paraître louche, elle s'est mise à chanter "Je suis...
Avec son tra-la-la de Suzy Delair
Elle habitait Séville Et dans toute la ville C'était la plus habile De toutes les gitanas Il en était de plus belles Mais elle avait pour elle Une chose exceptionnelle Que les autres n'avaient pas Avec...
Textes et Paroles de J't'ai serrée si fort
Cette ambulance était bien coquette, c'est gentil
Mais la camisole me serre les côtelettes, ce sera dit
Toi, je t'revois gémir, était-ce de plaisir ?
(Refrain)
Oh je t'adore, j't'ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
C'était pas la première fois que l'on m'enferme chez les fous
Mais j'n'aurai plus jamais la moindre perm, mais j'm'en fous
Je t'ai tant aimée, j'ai voulu te bercer
(Au Refrain)
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon p'tit cerveau, les monstres accourent
J'espère qu'à la cuisine de l'hôpital, c'est le même cuistot
J'ai regretté en partant en cavale, son osso-bucco
J'ai eu d'autres aimées, j'les ai moins enlacées
Toi je t'adore, j't'ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
Elle m'appelait son petit niais,
Elle me caressait du col au mollet
Ma tête, alors, se calmait
Ma mère, elle me disait «Tu es ma honte», je la plains
Elle n'avait qu'à pas rater sa ponte, j'suis son poussin
Et toi, ma dernière étreinte, elle t'a éteinte
(Au Refrain)
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon petit cerveau, les monstres accourent
(Au Refrain)(x2)
-
- Nouvelles paroles :
- Le lit sauvage - Quand vint la grâce - Vive les tamalous - Après les Drapeaux - L'age des possibles - DON'T STOP JAMMIN'
-
- Nouveaux artistes :
- Sébastien PERRIN - Dominique Fidanza - BIGA*RANX - Albert Babin - Guylaine et Celine Royer - Caroline Levasseur
-
- Meilleur classement :
- Comme un boomerang - La nuit je mens - Fais dodo, Colas mon p'tit frère - Céline - La montagne - You Know Who You Are
-
- Retrouvez-nous sur Facebook :
- Autres paroles de François Hadji-Lazaro :
- Quarantième jour de grève
- A y est le monde est en cul de sac
- Tu ne reviendras plus
- Moi, je suis cannibale et je suis un petit cochon
- En cet hiver de 1915, il m'avait dit qu'il vous aimait très fort
- J'avais trouvé ma vie en perdant ma route
- A la chaîne
- Libéral
- Le rêve de la journée, à côté de moi, elle dort
- Ce que je perçois depuis le ventre de ma mère est degré 9 sur l'échelle
- Ma petite grande, écoute-moi
- Ne lâche pas ma main
- Voir tous les textes et paroles de François Hadji-Lazaro.